Les Pétitions lancées par ARGOS 42

Depuis quelques années, des chiens dressés en Europe sont exportés vers des zones de conflit, notamment vers Israël. Ils sont alors transformés en armes de guerre. Des témoignages révèlent des attaques contre des civils impliquant des chiens militaires. Ces chiens sont blessés ou tués pour des causes qui ne sont pas les leurs.

ARGOS 42 demande à l’Union européenne de cesser immédiatement cette pratique contraire à l’éthique et au bien-être animal.

🇪🇺 L’Autorisation de l‘Union européenne sans contrôle  

L’Union européenne autorise l’exportation de chiens dressés vers des zones de guerre, sans contrôle de la destination des chiens ni licence.

Ces pratiques contreviennent aux principes du bien-être animal que l’Europe prétend défendre.

📢 Ce que nous demandons

Nous appelons la Commission européenne et les États membres : .

1. 🛑 à reconnaître officiellement l’exploitation des chiens de guerre comme une violation éthique et morale contraire aux valeurs européennes et aux droits des animaux.
2. ⚖️ à interdire officiellement, dans le droit communautaire, l’exportation de chiens destinés à une utilisation militaire vers des zones de conflit.

❤️ Les chiens ne sont pas des armes

Les chiens sont des compagnons fidèles, dotés de sensibilité : ils ressentent l’amour, la peur et la douleur. Les transformer en armes est une violation de leur nature.

✍️Pourquoi signer et partager cette pétition

Les animaux ne devraient pas alourdir les victimes des affrontements humains. En continuant à autoriser ces exportations sans contrôle, l’Union européenne cautionne indirectement leur souffrance. 

Ensemble, protégeons les chiens de la guerre et réclamons des lois claires, en faveur du bien-être animal.
Plus d’information : Chiens militaires : l’Europe alimente-t-elle la guerre ?

Cette pétition n’a pas pour objectif de prendre position sur un conflit géopolitique, mais de dénoncer l’exploitation et la souffrance des animaux dans les contextes de guerre, quel que soit le pays concerné.

🎯 Objectif : Appelons la FIFA à prendre position contre les massacres de chiens errants au Maroc, pays co-organisateur de la Coupe du Monde 2030

⚽️ Une Coupe du Monde entachée par des actes de cruauté

Alors que le Maroc s’apprête à co-organiser la Coupe du Monde 2030 aux côtés de l’Espagne et du Portugal, une autre réalité beaucoup moins festive se déroule dans ses rues : des milliers de chiens errants sont tués chaque semaine dans le silence quasi-total des médias internationaux.

Des images choquantes circulent depuis plusieurs mois :

• Des abattages de chiens en pleine rue, parfois en présence d’enfants,
• Des empoisonnements massifs,
• Des disparitions inexpliquées d’animaux capturés…

Ces actes sont justifiés par les autorités au nom de la « santé publique » et de la lutte contre la rage. Pourtant, des solutions efficaces et respectueuses du vivant existent, comme la stérilisation, la vaccination ou encore l’accueil en refuge.

📄 Des engagements non tenus

Le Maroc s’était pourtant engagé, dans le cadre de sa candidature à la Coupe du Monde (rapport FIFA 2030 – page 109), à mettre fin aux abattages dès août 2024 et à privilégier des programmes de soins pour les animaux errants.

Ces engagements sont censés être juridiquement contraignants selon les règles éthiques de la FIFA.

✊ Ce que nous demandons

Cette action, lancée conjointement par ARGOS42 et FUTUR, vise à interpeller la FIFA sur sa responsabilité éthique en tant qu’organisateur de la Coupe du Monde.

Nous demandons à la FIFA de :

• Condamner publiquement les massacres de chiens errants,
• Exiger des explications officielles du gouvernement marocain,
• Soutenir activement les alternatives éthiques comme la stérilisation, les refuges et les campagnes de vaccination.

La Coupe du Monde ne doit pas se dérouler au prix du sang de millions d’animaux.

📝 Agissez maintenant : interpellez la FIFA par e-mail

Le 9 avril 2023, alors que la plupart d’entre nous célébraient Pâques, Diane Gouhier, présidente de l’association Cœur sur Pattes, a dû intervenir en urgence face à un cas de maltraitance animale particulièrement choquant.

L’affaire Riya, une chienne gravement mal en point

Une chienne nommée Riya a été retrouvée dans une poubelle, dans un état de déshydratation extrême, anémiée, et souffrant de graves blessures internes. Ses organes étaient à l’air libre et partiellement nécrosés. Son propriétaire n’avait même pas remarqué sa disparition.

Face à cette situation dramatique, Diane Gouhier a dû agir pour sauver Riya :

• La chienne a subi cinq opérations majeures afin d’éliminer la nécrose et reconstruire un système urinaire fonctionnel.
• L’association Cœur sur Pattes a assumé 6 538,72 € de frais vétérinaires pour lui sauver la vie.

Malheureusement, au lieu de recevoir un soutien judiciaire, Diane a été poursuivie, ce qui soulève de nombreuses questions. Le procureur a ordonné la restitution de Riya à son propriétaire, une décision incomprise par tous ceux qui défendent la cause animale. Consciente que remettre Riya dans cet environnement risquait de mettre sa santé en danger, Diane a refusé d’obéir à cette décision. En conséquence, elle a été placée en garde à vue pendant 24 heures et est aujourd’hui convoquée à un procès pour « vol de chien », prévu le 31 mars 2025.

Nos demandes

Sous réserve que les faits soient établis lors du procès, nous appelons à :

• La reconnaissance officielle de la maltraitance subie par Riya et, le cas échéant, la condamnation de son ancien propriétaire à la peine maximale prévue par l’article 521-1 du Code pénal (trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende).
• La réquisition de Riya afin qu’elle ne soit pas rendue aux personnes susceptibles d’être responsables de sa maltraitance, et qu’elle soit confiée officiellement à l’association Cœur sur Pattes.
• L’abandon des poursuites contre Diane Gouhier, qui a agi dans l’intérêt supérieur de l’animal et conformément aux principes fondamentaux de protection animale, agissant également en état de nécessité.
• L’ouverture d’un débat public et juridique sur l’application effective des lois de protection animale, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent.
• La garantie que les défenseurs des animaux agissant de bonne foi ne soient pas poursuivis, et que les responsabilités soient clairement et équitablement établies.

Rappel important

Nous rappelons que toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement établie par un tribunal. Cette pétition ne préjuge en rien de la décision finale de justice, mais appelle au respect des droits de l’animal et à une application juste et équilibrée de la loi.

🧪 Des tests cruels au nom de la science : ça suffit.

L’utilisation des animaux dans la recherche scientifique continue de soulever de vives préoccupations éthiques. En France, la situation est particulièrement alarmante : un certains nombres de chiens,  principalement des Beagles, sont utilisés chaque année dans des laboratoires. Leur sensibilité, leur docilité et leur silence en font des victimes silencieuses d’expériences souvent douloureuses.

Chez ARGOS42, nous refusons que ces pratiques restent invisibles et tolérées. Il est temps d’agir.

📊 Ce que disent les chiffres

Selon les données européennes, plus de 9,3 millions d’animaux ont été utilisés à des fins scientifiques entre 2015 et 2017. En France seulement, 13 688 chiens ont été sacrifiés dans les laboratoires en 2017 (source : Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation).

Et pourtant :

• 51 % des expériences sont dites « légères », mais 11 % sont classées comme « sévères », c’est-à-dire douloureuses, longues, ou stressantes pour l’animal.
• La majorité des chiens utilisés sont des Beagles, élevés uniquement pour être revendus aux laboratoires.
• Ces pratiques se font notamment depuis des élevages industriels comme ceux de Mézilles (89) ou Gannat (03), qui fournissent également le Téléthon.

⚠️ Une éthique piétinée

Comment peut-on encore, en 2025, tolérer :

• Que des chiots soient élevés en cage, pour être livrés à la vivisection ?
• Que la science justifie la souffrance d’êtres sensibles, alors que des méthodes alternatives existent et sont reconnues comme fiables ?
• Que des animaux soient « éliminés » en fin d’expériences, parfois sans autre issue possible ?

🙅 Ce que nous demandons

Nous exigeons du gouvernement et du ministère de la Recherche :

1. L’accélération de la transition vers des méthodes de recherche sans animaux, en soutenant activement les alternatives prometteuses à l’expérimentation animale à des fins scientifiques.
2. Un engagement massif en faveur du développement, du financement et de la reconnaissance des méthodes de recherche alternatives, éthiques, fiables et sans souffrance animale.
3. La mise en place immédiate de mesures strictes pour encadrer le devenir des animaux de laboratoire, incluant :
   • L’interdiction de les euthanasier pour des raisons de « confort » logistique,
   • La simplification des démarches pour leur réhabilitation,
   • Une transparence totale sur leur sort en fin d’expérimentation.

🐾 Les chiens ne sont pas du matériel de laboratoire

Ils méritent, comme tout être vivant, le respect, la considération, et la protection. Ensemble, faisons entendre notre voix contre ces pratiques d’un autre temps.

📎 Pour plus d’informations, consultez notre dossier complet sur l’expérimentation animale en France :
👉 Télécharger le rapport 

📣 Signez la pétition pour en finir avec l’expérimentation sur les chiens :